Suite à une grosse refonte du forum (changement contexte,...) il y a un recensement actuellement en cours ! allez faire un tour dans le coin des annonces pour vous recenser avant le 03 Avril au risque de vous faire supprimer sans ça
Vendredi-soir, Wisteria lane, extérieur d'une villa
Quel meilleur moment que le soir pour s’aventurer près d’une grosse villa ? Il sait pourtant que les voisins ici ont soit des systèmes de sécurité dernier cris, soit une mère qui passe sa journée à la fenêtre à observer les allées et venues. Mais il se fait tard, presque 20h, il fait déjà assez sombre et dans son arrogance, il se dit qu’il va et sait passer inaperçu. Après tout, il n’a pas besoin de rentrer dans la bâtisse, ce serait une mauvaise idée il a repéré le système de sécurité, branché. Il a seulement besoin de voir à l’intérieur. Si possible de tirer quelques clichés.
Depuis trois jour, il enquête sur l’épouse du partenaire professionnel de son client. Ce dernier suspecte la dame de mener une double vie. Enfin un dossier intéressant, qui malheureusement revient au maux de l’infidélité mais avec une touche d’originalité. Et il faut dire que la petite dame ne lui a pas rendu la vie facile. On pourrait croire qu’il est plus facile de perdre la trace de quelqu’un quand on les suit en voiture, mais à pied dans les rues, il faut surtout éviter de perdre un visage dans la foule ou pire, de se faire repérer. D’ailleurs James n’aime pas particulièrement suivre des gens dans les rues de Fairview. Il rencontre bien trop souvent des connaissances qui lui adressent la parole. Alors suivre sa cible n’avait pas été aisé, il l’avait perdu à quatre reprises, n’avait su rien tirer de ses conversations téléphoniques ou de ses réseaux sociaux. C’est une lettre, adressée à la mauvaise adresse, qui lui a fourni sa première piste.
Le voilà donc à errer à 20h le soir aux alentours d’une ville. Le jardin n’est pas clôturé, cependant il doit contourner des haies et des chemins de fleurs, évitant de se prendre le manteau dans les épines des nombreuses roses. Il n’a pas l’allure d’un cambrioleur, ni d’un paparazzi. Mais quiconque avec un peu de bon sens pourrait trouver sa silhouette louche, lui qui tente de ne rester discret. Il n’y a personne dans la maison, les lumières sont éteintes. Mais arrivé près d’une fenêtre sur la façade droite de la ville, il voit plusieurs photos de famille posées sur un buffet. Attrapant son appareil photo, il commence à photographier ces dernier depuis l’endroit où il se trouve. Zoomant avec son objectif de nuit. Concentré sur sa tâche, il n’entend pas les pas se rapprocher.
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Sujet: Re: Hold it ~ Ft. Yennefer Mar 1 Mar - 0:45
Le faible rideau de noir envahit le ciel. S’emparant de sa compagne en la berçant vers l’obscurité. Apaisant la lueur aveuglante. Percement des diamants qui étincellent pour guider son amante blanche vers le haut du voile assombri. Réconfortant les âmes fatiguer. Sombrant dans un sommeil réparateur sous la sécurité d’être les protégeant. Des têtes appuyées contre des coussins alors que les paupières se renferment. Accueillant les premières rêveries les guider dans un univers imaginaire réconfortant. Cette pensée ne quitte pas mon esprit. Les mains sur le volant alors que les lumières de l’autopatrouille éclairent le passage du pavé de cette route luxueuse. Celle dont la demeure familiale est nichée sur sa pente. Affichant par moquerie le pouvoir de l’argent. Une fortune volée au profit de plus faible. Profitant d’un désire monétaire pour construire avec fourbe ce qu’ils sont. Je ne devrais penser à cette douleur. Cette trahison qu’ils font en désapprouvant celle que je suis. La laideur d’une femme portant l’uniforme comme ma mère ne cesse de me dire. Je ne peux que dresser mon majeur sous le passage de la maison me rappelant des souvenirs devenus une hantise. Ils ne sont plus rien ! Ils ne seront jamais autre chose qu’un titre décroché à ma venue au monde. Il va de soi que ma haine ne s’abaisse pas. Les maudissant même intérieurement en gardant ce regard droit devant moi. Les paroles dégradantes s’accumulent sous le désir de voir cette fratrie tombée. Chuter de leurs trônes de fer.
Prise dans mes pensées, je réalise au dernier moment que la radio annonça un code d’intrusion. J’attrape rapidement dans ma main. « Agent Yankova, auto 19. Je suis à quelques mètres. Je vais faire un tour. » Nonchalante. Surement encore des enfants voulant plaisanter auprès d’une vieille sorcière de la rue. Je m’approche tranquillement en fermant les lumières de la voiture pour me stationner au coin de la rue. Je signale au centre que je suis arrivée. Ma main glisse vers l’arrière pour attraper mon fusil. Allumant au passage rapidement la lampe sur mon épaule. J’écoute la voix venant de mon appareil me dictant qu’il est plus facile de passer vers le jardin. Seigneur ! Ils sont idiots ! Ils sont capables d’avoir les moyens pour une sécurité parfaite, mais une clôture, non ?
Je tente de jouer les silencieuses. Rester invisible sans laisser la personne ou les personnes m’apercevoir pour prendre la fuite. Je contourne les haies en écrasant les fleurs sans me gêner. Un regard furtif, je tente de percevoir l’intrus. Cette personne qui devra s’assoir sur mon siège arrière. Les menottes serrant les poignets dans son dos.
Je le vois. Cette silhouette cachée jouant les voyeurs. Je ferme la lumière profitant de la nuit pour le surprendre. Je m’approche de lui sur le côté. Pointant mon arme à feu sur l’individu ayant commis une intrusion sur une propriété privée. « Police ! À genoux et les mains derrière la tête. » Dis-je d’une voix plus élevée que prévu. En plissant les yeux, le rayon de la lune éclaire son visage. Est-ce ? Non ! « Le vieux ? » Dis-je à voir la basse.
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Sujet: Re: Hold it ~ Ft. Yennefer Mar 1 Mar - 2:27
Vendredi-soir, Wisteria lane, extérieur d'une villa
Toutes ces histoires, tout ces misères. Si les gens ne s’aiment plus, pourquoi rester ensemble ? Pourquoi perdre leur temps à vivre côte à côte, ou à prétendre vivre côte à côte, alors que la vie est si courte et que perdre ainsi des années ne rend qu’amer ? Combien de couples n’avait-il pas connu dans sa vie ? Combien d’amis, de connaissances, qui s’étaient déchirés du jour au lendemain sans se donner de seconde chance ? Ou bien, ils s’en accordaient sans s’afficher mutuellement sur la place publique.
Pour James, c’était une chose qui n’était pas aisée à comprendre. Quand il a rencontré Victoria, à l’aube de ses 15 ans, il ne se doutait pas qu’elle allait devenir son épouse. Mais il l’a aimé, chaque jour un peu plus. Et quand il lui a demandé sa main, il savait que c’était l’amour de sa vie. La personne avec qui il voulait construire un avenir, fonder une famille, vivre jusqu’à son dernier souffle. Il bien qu’il n’eût jamais aimé trop se projeter, il l’avait fait à ses côtés. Ils avaient des idées, des projets à réaliser ensemble. Avant les enfants. Quand les enfants sont arrivés. Après que les enfants auraient quitté le cocon familial. Ils avaient prévu de voyager un peu plus. Elle voulait faire quelque chose, ayant été de longues années mère au foyer. Trouver une activité, plus que bénévole mais peut-être même un métier pour occuper ses journées. Et même sans ça, ils auraient pu vivre confortablement tout les deux. Elle qui voulait découvrir les océans, lui qui se serait bien vu naviguer. Et s’il y a eu des hauts et des bas, pour eux c’était différent. Elle avait beau être sous traitement, la bipolarité ne se laisse pas facilement amadouer et les erreurs qu’elle a commises il les a pardonné. Lui-même en ayant commis aussi, une fois, sans que ça ne dépasse jamais tout entendement mais tout de même. Son cœur ne s’était jamais libéré de la présence de Victoria mais avait fait de la place pour une autre.
Et pourtant, il ne peut comparer ces infidélités à ce qu’il observe quotidiennement. Aux histoires folles qu’il doit supporter avant qu’on ne lui dise précisément qui suivre, sur qui enquêter. Comme ici. Une femme qui mène une double vie, vraiment ? Quel plaisir a-t-elle donc de scinder sa vie en deux ? Certes on pourrait croire qu’elle connaît les même joies à deux reprises, mais la vérité c’est qu’elle manque bien des choses aussi. Elle a un fils, avec le partenaire professionnel de son client. Hors sur les portrait qu’il photographie depuis l’extérieur, il peut voir une fille. Comment elle est parvenue à cacher une deuxième grossesse, il n’en sait fichtrement rien. Toutefois, entre deux clichés et un regard agacé aux saletés de roses qui se trouvent à côté de lui, il ne fait pas attention à ce qui l’entoure. Jusqu’à entendre une voix qui le fait sursauter, gardant son appareil photo d’une main en levant les deux au ciel, comme lui est demandé. Sauf qu’avant de se mettre à genoux, c’est qu’il n’a pas envie de salir son pantalon, merci bien, il tourne légèrement le regard vers l’agent. Ha, oui, cette voix lui est bien familière.
« Qui voilà. » Il se tourne totalement vers elle, gardant les bras bien en évidence. Sait-on jamais qu’elle ne l’ait pas totalement reconnu, il aimerait éviter une balle perdue. « Bonsoir crevette. »
Un grand sourire s’affiche sur son visage, alors qu’il baisse lentement les bras. Son appareil bien, voir trop en évidence. Mais elle n’est pas sans savoir qu’il est devenu une fouine… qui n’a pas à se soucier de respecter les règles comme elle et ses collègues.
« Ce n’est pas à toi que je vais faire croire que j’étais venu photographier ces magnifiques roses... Tu ne comptes pas m’arrêter, j’espère ? »
Son ton est taquin du début à la fin, persuadé qu’elle ne va rien lui faire et le laisser tranquille. Que ce soit parce qu’ils se connaissent ou parce qu’il surestime parfois son pouvoir de persuasion, ça, ça ne regarde que lui.
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Sujet: Re: Hold it ~ Ft. Yennefer Mar 1 Mar - 11:37
Porter, cette tenue officielle a été l’élément déclencheur de ma descente en enfer. Il y a un moment, les femmes ne pouvaient travailler sans sentir le jugement sur leurs personnes. Les hommes espéraient qu’elles restent debout dans leurs cuisines préparant le repas pour la soirée. En allant même sortir une bière ni trop froide ni trop chaude pour un mari revenant du travail. Pourtant, la révolution a condamné des femmes telles que moi à devenir impressionnantes. Plus froide ! Nous devons imposer notre place dans un domaine dont la masculinité reste de mise. Oppressant ceux aux nombreuses courbes envoutantes. Nous sommes nées dans un univers dont les preuves doivent être encore établies. Les percussions ne cesseront jamais, mais nous sommes présentes pour choquer cet univers misogyne et vieux jeu. Comparable à l’atmosphère toxique qui mon vu grandir. En m’apercevant tenir cette arme vers un être vivant, ma mère serait choquée. Son visage délavé et les critiques s’accumuleront. En allant vers les comparaisons sur les deux beautés qui me précèdent. L’idée que ce cœur battant soit pris et enterré sous une illusion bafouée m’exaspère. Il y a longtemps, je n’aurais pu penser ainsi. Doutant de celle que je suis. En allant me questionner sur ce nom brodé sur ma poitrine. Les chaines qui se son brisées sous la porte d'une prison s'ouvrant , ma permise de revivre. Entre la douleur et la réalité qui me rattrape. Révélant les secrets cachés. Il aurait peut-être fallu que je contacte un homme tel que lui. Le voyeurisme professionnel pour éclairer les doutes des inquiets. Ma voix qui se hausse. Ordonnant de réagir sous ma demande. La lumière de la lune chuta vers son visage. Éclairant l’ossature de trait familier. Cette voix ? Par tout le dieu puissant, je devais réellement apercevoir les traits de ce plaisantin ce soir ? « Fais chier » Un murmure en comprenant que l’erreur de douter n’en était pas une. « Crevette… Il n’y a pas erreur. » Je me mordis la lèvre en rangeant mon arme dans son étui. « Non, mais j’aimerais bien te passer les menottes. » Un sourire satisfait vient étirer mes lippes sous l’image rigolote qui s’impose dans ma tête. J’appuie sur ma radio accrochée sur mon épaule. « Agent Yankova, c’est une fausse alerte. C’est un juste un chien creusant dans le jardin. » Fixant James, je roule les yeux au ciel. En marmonnant quelques bêtises au passage. Il baisse les bras trop vite à mon goût, mais je ne serais pas chiante.« J’ai plus l’impression de voir un vieux pervers voulant photographie une jeune cocotte ou un voleur de petite culotte. » Je m’approche d’un pas rassurer. Ce n’est pas James qui me ferait quelque chose. Cet homme bien qu’il soit plus grand et plus large est une connaissance. « Tu sais que je vais devoir te demander de supprimer les photos ? Je veux bien te couvrir parce que tu es son ami…mais tu vas m’en devoir une Myers ! » Ma main passe sur mon visage alors que je plisse les yeux en le jugeant. L’étiquette de voyeur lui va bien.
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Sujet: Re: Hold it ~ Ft. Yennefer Mar 1 Mar - 20:28
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Fort heureusement, c’est un agent de police qu’il connaît. Et pas non plus une simple connaissance dont le visage est seulement familier. Non, quelqu’un qu’il connaît. Qu’il apprécie. Et il sait déjà qu’il ne va pas terminer sa nuit en cellule, quand bien même il le lui demande pour s’en assurer. Baissant les mains, il lui fait un sourire complice et charmeur quand elle parle de menottes. « C’est une invitation ? » Bien sûr, il ne fait que la taquiner, plaisanter. Bien qu’il soit veuf depuis près de trois ans maintenant, Yennefer est la petite sœur d’un ami d’enfance. Il l’a vu grandir, d’ailleurs. Les filles Yankova sont redoutables, qu’on ne dise jamais le contraire. Alors qu’elle communique au central que c’était une fausse alerte, James fait un pas vers elle, surtout pour s’éloigner des rosiers qui vont finir par lui coûter quelques égratignures s’il reste à côté.
« Si je voulais photographier des jolies filles ce n’est pas ici que je viendrais. »
Le quartier a beau être chic, dans la plupart des villa se trouvent uniquement des femmes au foyer approchant la cinquantaine. Ou des personnes bien plus âgées encore. Il serait mieux logé dans le quartier des étudiants s’il voulait photographier de belles jeunes femmes. Il plisse cependant les yeux à ce qu’elle lui dit.
« Tu vas vraiment insister pour que je fasse ça ? Tu sais que tout ce que tu obtiendras, c’est le risque qu’un autre appel soit passé demain soir en disant qu’il y a encore une ombre qui traine autour de la villa de la voisine. »
Sans ses clichés, il sera obligé de revenir pour en reprendre. C’est un fait. Et soit il attend une nouvelle fois le tombé du jour, soit il passe en journée en se faisant passer pour un installateur... mais ça devra attendre lundi ou mardi. Il sait que la femme sur qui il enquête et son.. amant, ou deuxième mari, ainsi que leur fille, sont partis en weekend.
« Soit sympa, je t’en dois une et en plus si tu me laisses garder mes clichés, je te revaudrais ça. Qui sait, je pourrais t’être utile un de ces jours. »
Il tente le tout pour le tout, cependant prêt à effacer les clichés si elle insiste. Revenir serait une corvée qu’il aurait pu éviter en étant plus discret. C’est de sa faute, vraiment.
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Sujet: Re: Hold it ~ Ft. Yennefer Dim 6 Mar - 15:30
Abruti ? Ce n’est qu’un des plus simples mots pouvant catégoriser l’idiotie dont cet homme fait face présentement. Je sais, il ne fait que son travail. Pourtant, j’aimerais bien l’embarquer dans ma voiture en lui pensant les menottes pour qu’il comprenne que je ne suis pas aussi gentille. Sauf que je fais encore une connerie pour ses yeux. En fait, j’allais lui offrir une passe droite pour le lien qu’il entretient avec l’ainé de la famille. Ils se connaissent depuis longtemps. Il fait un peu partie de la famille. Et, mes parents l’apprécient. Ce n’est pas nécessairement mon cas… Ce n’est pas une méchante personne. Sauf que je joue encore mon poste pour venir en aide à un proche. « Certainement, mais tu aimerais peut-être trop. » Un gloussement de rire fait vibrer mes lèvres alors que l’image me parvient en tête. D’accord, la scène en voudrait la peine. Je communique rapidement avec le central pour indiquer qu’il s’agit d’une fausse alerte. Une erreur détectée. Après tout, un canidé est un peu similaire non ? « Est-ce un sous-entendu que tu prends des photographies tel un voyeur le vieux ? Il ne te faut pas grand-chose… » Je dois avouer que le quartier n’est pas le meilleur choix pour prendre de jeunes femmes en photographies. On risque de tomber sur une femme ayant une culotte de grand-mère ou un pyjama en satin rouge pire des bigoudis dans les cheveux. Bref, ce n’est pas si impressionnant niveau qualité. J’imagine que les hommes préfèrent la jeunesse et le charme d’un tissu délicat. Je me mords la lèvre dès qu’il ouvre la bouche. Il a raison. Le pire est que je ne pouvais pas dire le contraire. Je respire fortement tout en ayant bien l’envie de prendre quand même la carte et l’écraser sous mon pied pour la moquerie dont il me faisait part. « Tu es sérieux !? » Est-ce qu’il aurait parlé à une autre personne en uniforme de cette manière ! Seigneur, il va m’en devoir une. Je me passe la main découragée contre le visage en le maudissant de l’intérieur. « Je devrais pourtant. Tu fais ton travail, mais je fais le mien… » Ah que si, je le faisais. À l’instant, il était mal fait. « Garde ta carte mémoire, l’histoire du chien ne passera pas deux fois. » Un chien à quatre pattes a été un beau détournement de la réalité. Sauf que me servir de cette excuse une seconde fois va créer des doutes au centre. « Garde les clichés, je n’ai pas envie d’être appelé encore et encore pour venir protéger tes fesses. Je vais finir par croire que tu veux les miennes, le vieux. » Ma voix se fait moqueuse. Étouffant un rire rapide alors que je tente de ne pas trop me payer sa tête. « tu vas m’en devoir une et pas une petite… » Je penche un peu la tête pour voir l’intérieur de la maison. Si, je me souviens bien, les habitants de la demeure font partie d’un club de la haute société que mes parents sont membres. Encore des bourgeois qui se prennent pour le nombril du monde.