le pardon insurmontable - (( jamison ))

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Bienveillant, tu es ce qu'on appelle politiquement correct, quelqu'un de bien. Tu es un homme qui fait passer le bonheur des autres devant le sien. Ce n'est pas toujours un compliment, car tu as trop souvent ce don de t'oublier. Tu es généreux et bien trop patient même, surtout avec ceux qui ne le méritent pas.

Combatif, la vie n'a pas toujours été facile, mais tu n'as jamais abandonné. Que ça soit par amour ou par obligation. Tu ne sais pas baisser les bras, certains appelleraient ça de l'acharnement, certains te qualifierait de têtu, tu n'aimes simplement par abandonner. Tu veux te battre, tu veux te relever et si tu peux aider d'autres personnes en passant, tu le fais avec grand plaisir.

Rancunier, si tu as le coeur sur la main, si tu aimes aider les autres, si tu te donnes à 100% en amour comme en amitié, une fois qu'on t'a trahis, tu as beaucoup de mal à pardonner. Depuis ta naissance, tu n'as pardonné qu'à cinq petites personnes et l'une d'entre elles t'avait piqué ton gâteau au chocolat quand tu n'avais que quatre ans.

Et un manque de confiance en lui, un brin destructeur. Le sentiment d'abandon par sa mère, les violences du beau-père, les nombreuses dettes et surtout l'impression de n'être jamais à la hauteur. Puis tes fiançailles qui sont partis en fumé qui ne font qu'accroire tes nombreux doutes.

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mon pire défaut Son besoin de perfection, sans jamais pouvoir l'atteindre.
ma plus grande qualité Sa bienveillance, son besoin de faire plaisir et d'aider les autres.
mon pêché mignon Un bon double whisky lors des nuits compliqué
le pire tue l'amour les ongles salles ou durant les moments intimes, tu n'apprécies pas les insultes dites "cochonnes"
mon signe astrologique Sous le signe du taureau avec un ascendant sagitaire, pas toujours facile à vivre
je crois au surnaturel ? Trop terre à terre pour croire aux choses qu'on ne peut pas voir.
je crois au coup de foudre ? Au passé, peut-être, plus jamais au futur.
je suis superstitieux ? Pas vraiment, mais tu ne passes pas sous une échelle et tu fais toujours attention à la position du pain sur la table.

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mon plat préféré ? Pates avec énormément de fromages.
ma saison préféré ? Tu aimes les couleurs orangés que peux offrir l'automne.
mon parfum de glace préféré ? fruit de la passion  suivis de près du chocolat blanc.
ma destination de rêve ? un endroit le plus éloigné de Fairview
mon animal domestique préféré ? Tu as enfin adopté un chiot, un samoyède qui aime fuguer.

regrets - 60%mensonges - 30%secrets - 80%      

mon plus gros regret Tu n'as pas énormément de regrets. Il t'arrive de songer à une conversation et de te dire que tu aurais dû agir d'une autre façon, mais ce n'est pas ce qu'on pourrait appeler des regrets. Par contre, il t'arrive de songer à la dernière conversation que tu as eu avec ton père et une part de toi, aimerait pouvoir revenir en arrière pour réellement discuter avec lui.

mon plus gros secretLa mort suspect de ton beau-père. Malgré les années de prison de ta mère, le doute a toujours été présent. Tu évites toujours de parler de ce qui s'est passé ce soir-là. Il t'arrive même de ne plus y penser pendant des mois entiers et puis, tu peux faire un cauchemars et tous tes doutes, tes angoisses peuvent revenir à la surface.

"Maman, si tu aurais pu nous aimer, peut-être que les choses auraient été différente." Le lien d'une mère et son fils devrait être un lien si fort, c'est ce que tu as pu lire dans les livres. Les nombreux bouquins (piquer à la bibliothèque) dans lequel tu trouvais refuge. Si ta mère t'a donné l'amour des mots, elle n'a pas eu peur de te laisser avec ton père lors du jugement. Lors de la séparation de ce couple que tu avais comme modèle. T'éloignant d'elle, mais surtout de ta petite soeur, détruisant votre petite famille par la même occasion.

"Papa, j'aimerais te voir sourire une dernière fois". Malheureux, abandonné et fauché sont les trois meilleurs adjectifs qui pourraient le définir. Tu ignores toujours la raison du divorce de tes parents, mais une fois prononcé, il ne fut plus le même. Tu devais être à sa charge, mais ce fut le contraire. Te forçant toi, l'adolescent à prendre en maturité et devoir t'occuper de la maison, mais surtout de lui. Le couchant, le lavant et le réveiller tous les matins pour qu'il puisse aller travailler. Puis il y a eu cet accident, ce choc, tout ce sang devant ton appartement, la morgue et ton retour dans la maison de ta mère.

"Pourquoi maman ?" Ta mère à retrouver le bonheur auprès d'un homme, mais malheureusement cette personne cache une grande part d'ombre en lui. Il ne s'en prends pas à toi, il n'oserait pas touché un adolescent avec un trop plein de rage. Ce lache, s'en prends à Emiline, ta petite soeur, il se glisse sous ses draps la nuit, lui fait du mal physiquement autant que psychologiquement. Tu ne peux pas le supporter. Un soir alors que tu es témoins d'une scène atroce, tu finis par lui faire du mal. Tu attrapes le tisonnier et tu le frappes. Tu tapes si fort que tu finis par lui perforer le crane. La police arrive et ta mère ce dénonce à ta place

Tu te retrouves du jour au lendemain avec une adolescente à charge, des dettes par-dessus la tête. Tu quittes l'école et c'est de cette façon que tu entres comme agent de sécurité à l'hôpital psychiatrique. Ce n'est pas une partie facile de ta vie, mais tu ne l'as changeras pour rien au monde. Durant ces quelques années, vous n'aviez pas beaucoup d'argent. Tu avais enfin une famille, enfin ce dont tu as toujours désiré.

"Toutes ses années de mensonge, m'as-tu réellement aimé ?" Il y a huit ans, Ophélia est entré dans ta vie. Si de ton côté ça a été comme un coup de foudre, tu sais que ce ne fut pas réciproque. Tu savais que tu l'aimais plus qu'elle, tu savais qu'elle ne se donnait pas à 100%, mais tu pensais que ce n'était que par pudeur. Tu étais amoureux, vous étiez un couple presque parfait. Tu étais heureux et pour continuer ce bonheur, elle tomba enceinte. Lucas est entré dans votre vie, il y a cinq ans. Il est l'amour de ta vie, il est le soleil de tes nuits. Tu étais comblé fiancé et papa. Il y a toujours un "mais" et il vient d'Ophélia elle-même. Elle t'a annoncé que tu n'étais pas biologiquement le père de Lucas. Tu as été dévasté, tu l'as quitté et depuis tu te bats pour obtenir la garde de ton fils. Car, Lucas restera toujours ton fils.