Love the drama - ((Fawn))

surnom › Difficile de raccourcir plus encore son prénom, pour autant, quelques (( Lilas )) se perdent parfois sur les lèvres de ses amis. Doux diminutif de "Lil' ass Kicker" un sacro-saint titre venu la couronner le jour où son fulgurant pied à poussé le dos de Benny Carter hors du bus et ce, pour le contraindre a épouser la haie en contre-bas. Si quelques heures de colles ont évidemment alourdit sa souveraineté, ni les remontrances de ses professeurs, ni celles de sa mère ont su la faire culpabiliser. Après tout, ce con de Carter avait osé la précipiter dans les orties la veille, comment ne pas sanctionner cette effroyable audace. âge › vingt-et-un an soufflé en janvier, au dessus de Milan. Elle a précieusement gardé son souhait coincé là, dans la poche arrière de son jean, et a éclaté de rire lorsqu'on lui a demandé ce qu'elle comptait faire de cette nouvelle année. Un mois plus tard, elle préparait ses bagages pour rentrer à Fairview, chez elle, pour de bon. date et lieu de naissance › Prévu pour tout début mars, elle est arrivée en catastrophe le dix-huit janvier 2001 à fairview, déclenchant de vives contractions en plein repas de famille et ce, pour voler la vedette au dessert de tata Victoria. Oui. Tout les Myers connaissent l'histoire. Du cordon ombilical venu s'enrouler autour de son cou au pronostic vital engagé, entrecoupé d'anecdote gênante sur son enfance et sa propension à se dandiner comme un canard bourré sur du Franck Sinatra. Papa et maman pointent du doigt le miracle mais Fawn demeure encore aujourd'hui persuadée le Karma savait ce qui débarquait ce jour là et avait prit un peu d'avance sur ses retombées. nationalité(s) et origine(s) › Américaine pure souche, quoiqu'elle aime arborer les sonorités d' "Italienne d'adoption" de temps à autres. orientation & état civil › Une insécurité affective et sexuelle, savamment tapis derrières des relations explosives et chaotiques. Un peu perdue, elle préfère rester célibataire et clamer qu'elle intimide les hommes. activité(s) & revenus › Pendue au portefeuille de papa, maman, homme de maman numéro 4 et à des cartes de crédit dont elle connait chacun des codes par cœur, Fawn ne travaille pas. Du moins, pas pour financer ses études en biotechnologies végétales, ses cours d'équitation, de danse, d'ocarina, de théâtre ou son matériel vidéo. Ce n'est pourtant pas faute d'avoir promis qu'elle payerait la pension de son cheval avec l'argent que lui rapporterait les J.O mais bon, il faut croire que si Fawn n'est pas mauvaise cavalière, son niveau ne la poussera jamais aux frontière du professionnel. Et c'est là l'une de ses plus grande frustration.

Grâce à papa, elle fut un temps l'égérie d'une marque de bijoux mais ses caprices l'ont doucement poussé vers la porte de sortie. Qu'importe ! Aujourd'hui elle et ses créations brillent sous les caméras de Paradox, une émission de paranormal dont elle est la styliste et l'enquêtrice principale.
Une renommée balbutiante, à peine peine éclose, mais dont elle se garde de parler à sa famille. Après tout, les circonstance ne s'y prêtent absolument pas. Tatie, prétendre parler aux morts, tout ça... Et pourtant, les tenues designé pour les caméras et son jeu d'acteur mériterait un oscar à chaque publication d'épisode, soyez en certain !

situation familiale ›Enfant terrible, viscéralement accroché aux nerfs de maman et aux jambes de papa, Fawn n'avait rien d'une enfant facile, quoique susurraient ses grands yeux de biche. Pas qu'elle fut spécialement fourbe ou malveillante, mais son énergie ne semblait avoir pour seule limite son imagination et son effroyable curiosité. On tenta de l'épuiser aux frontières d'un emploi du temps bien remplit, mais ni ses cours de danse, de violon ou d'équitation hebdomadaire ne parvinrent à véritablement la rendre amorphe le temps d'une soirée. Tout au plus, lorsque pointait la fatigue, c'était à grand coup de cri et de pleur qu'elle réagissait à la frustration avant de tomber comme une crêpe, parce que soyons honnête, ses journées était plus que remplit. Maman voulait en faire une reine capable de conquérir le monde, et s'il fallait coincer l'apprentissage de plusieurs langues étrangère entre le petit déjeuné et les premières heures de cours, elle y arriverait.

Peu d'amis donc, dans ses jeunes années du moins, n'arrivèrent à se faire une place là, dans le quotidien de Fawn. Seule la famille demeurait, ce qui explique dans doute cette odieuse dépendance affective qui a finit par se tisser au gré des années. Entre elle et ses oncles et tantes, entre elle et ses cousin(e)s, mais surtout entre elle et ses parents.
Débordante d'amour et viscéralement accrochée à la sacro-sainte image de la famille, Fawn peine à s'imaginer sans eux. A s'envisager comme simple individu, plus qu'une Myers. Elle prend souvent beaucoup trop à cœur les conflits qui s’immisce dans cette parfaite bulle et se fissure lorsque le ton monte et se déchire. Quoi de plus paradoxal donc, qu'elle ait accueillit le divorce de ses parents sans un cri. Sans jeté dramatique sur le canapé et chantage affectifs. Non. Tout s'est bien passé, mais peut être plus à cause du déni que par réelle volonté de ne laisser rien paraître. Son père voyageant beaucoup, Fawn ne vit qu'en cette étrange garde alternée qu'un énième éloignement, peu dramatique, jusqu'à ce que sa mère ne laisse entrer un nouvel homme dans sa vie et que ce con revendique le titre paternel.

anecdotes ›› (décrire ici des anecdotes concernant votre personnage. un minimum de cinq anecdotes de trois lignes chacune sont demandés ou narration de votre personnage de 400 mots) (( 1 ))

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